On a reçu ça :
Bonjour,
Ici Jean Monestier.
C’est mon ami Stéphane, de la Maison Jaune, qui a mis sous mes yeux l’article du Canard enchainé du 27 mai 2015, que je vous mets en P.J., sur le livre « Comment tout peut s’effondrer ».
Personnellement, je n’ai pas suivi les conseils de prudence de Jean-Luc Porquet, et j’ai lu ce livre en 24h00. Mais je ne l’offrirai à personne, et je ne ferai pas de note de lecture. C’est à chacun de lire l’article du Canard ci-joint et de décider ce qu’il veut faire.
Depuis cette expérience, mes priorités, mes réflexions, mes projets d’écriture, mes projets d’avenir sont modifiés ou prennent une direction différente, et je ne le regrette pas. Mais ces dernières années m’ont un peu appris à regarder les choses en face. Je comprends qu’on préfère garder la tête dans le sable. Donc je n’essaierai pas d’influencer votre choix.
Je précise quand même que ce livre n’incite aucunement à l’inaction ou au défaitisme. Dans sa dernière partie, il décrit des pistes qui pourraient nous aider à sauver ce qui peut l’être. Mais chaque jour nous rapproche d’éventualités extrêmes.
Amitiés à tous.
Bonjour,
Ici Jean Monestier.
C’est mon ami Stéphane, de la Maison Jaune, qui a mis sous mes yeux l’article du Canard enchainé du 27 mai 2015, que je vous mets en P.J., sur le livre « Comment tout peut s’effondrer ».
Personnellement, je n’ai pas suivi les conseils de prudence de Jean-Luc Porquet, et j’ai lu ce livre en 24h00. Mais je ne l’offrirai à personne, et je ne ferai pas de note de lecture. C’est à chacun de lire l’article du Canard ci-joint et de décider ce qu’il veut faire.
Depuis cette expérience, mes priorités, mes réflexions, mes projets d’écriture, mes projets d’avenir sont modifiés ou prennent une direction différente, et je ne le regrette pas. Mais ces dernières années m’ont un peu appris à regarder les choses en face. Je comprends qu’on préfère garder la tête dans le sable. Donc je n’essaierai pas d’influencer votre choix.
Je précise quand même que ce livre n’incite aucunement à l’inaction ou au défaitisme. Dans sa dernière partie, il décrit des pistes qui pourraient nous aider à sauver ce qui peut l’être. Mais chaque jour nous rapproche d’éventualités extrêmes.
Amitiés à tous.
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