Ce blog rassemble, à la manière d'un journal participatif, les messages postés à l'adresse lemurparle@gmail.com par les personnes qui fréquentent, de près ou de loin, les cafés repaires de Villefranche de Conflent et de Perpignan.
Mais pas que.
Et oui, vous aussi vous pouvez y participer, nous faire partager vos infos, vos réactions, vos coups de coeur et vos coups de gueule, tout ce qui nous aidera à nous serrer les coudes, ensemble, face à tout ce que l'on nous sert de pré-mâché, de préconisé, de prêt-à-penser. Vous avez l'adresse mail, @ bientôt de vous lire...

BLOG EN COURS D'ACTUALISATION...
...MERCI DE VOTRE COMPREHENSION...

jeudi 31 mai 2012

Les dangers des forages en Arctique

http://groupescolairemauricedocagne.wordpress.com/2012/04/22/lassureur-lloyds-sinquiete-des-forages-en-arctique/

L’assureur Lloyd’s s’inquiète des forages en Arctique

22 avr
L'assureur Lloyd's s'inquiète des forages en Arctique
(…) La compagnie d’assurance Lloyd’s et l’organisation Chatham House mettent en garde les investisseurs contre les risques que pose le forage pétrolier en Arctique, alors que le réchauffement climatique présente de nouvelles opportunités économiques dans la région.
Dans un rapport publié jeudi, la célèbre compagnie d’assurances britannique et le groupe de réflexion soulignent à quel point les connaissances sur les conséquences d’une catastrophe environnementale en Arctique liées au développement économique de cette région sont insuffisantes pour permettre une gestion du risque adéquate.
« Le nettoyage d’un quelconque déversement pétrolier en Arctique, tout particulièrement dans une aire couverte de glace, présenterait de multiples obstacles, qui, combinés, constituent un risque unique et difficile à gérer. » — Extrait du rapport Arctic Opening: Opportunity and Risk in the High North
Les auteurs du rapport soulignent notamment que l’on ignore, à ce jour, comment se biodégraderait le pétrole en Arctique en cas de fuite. La vitesse de la dégradation pourrait y être inférieure à celle observée dans des régions plus tempérées du monde, comme dans le Golfe du Mexique, où un déversement pétrolier de la compagnie BP a engendré une catastrophe écologique dans plusieurs États américains en avril 2010.
Par ailleurs, les techniques employées pour contenir le pétrole au même endroit après une fuite ont leurs propres effets sur l’environnement, qui pourraient avoir des répercussions sur des lieux imprévus étant donné l’impossibilité de prédire jusqu’où le mouvement des glaces arctiques pourrait les diffuser.
« Comme cela a déjà été observé », ajoutent aussi les experts, « il est fort probable qu’une future activité économique en Arctique perturbera les écosystèmes déjà bousculés par les conséquences des changements climatiques. » La migration des caribous et des baleines, par exemple, risque d’être touchée par le rejet de polluants, la construction de pipelines ou l’activité sismique engendrée par les forages.
La fonte et les ambitions commerciales
La rapidité à laquelle s’effectuent en ce moment les transformations environnementales en Arctique n’est comparable à celle d’aucune autre région sur terre, observent les auteurs du rapport.
« Certains experts estiment que l’océan Arctique pourrait être complètement dégelé pendant les mois d’été d’ici 25 à 40 ans, mais d’autres experts croient même que cela pourrait se produire au cours de la prochaine décennie », soulignent-ils.
En conséquence, le forage pétrolier, mais également l’exploitation gazière, minière et le développement de nouvelles voies navigables pour les cargos font l’objet de beaucoup d’attention commerciale depuis quelques années.
Ces constats font anticiper des investissements qui pourraient atteindre plus de 100 milliards dans la région dans les 10 prochaines années, évalue le rapport.
L’Arctique pourrait contenir 30 % des réserves non découvertes de gaz naturel, ainsi que 13 % des réserves de pétrole non découvertes.
Au Canada, plusieurs permis d’exploration en Arctique, d’une durée de neuf ans, ont été attribués entre 2007 et 2010, observe le rapport. Ces licences ont été accordées sur des promesses d’investissement de 1,8 milliard.
Selon le journal britannique The Guardian, les compagnies Cairn Energy et Shell sont au nombre des entreprises qui ont commencé à construire des puits ou qui prévoient le faire dans le nord du Canada et du Groenland.
La pétrolière Total, présentement aux prises avec un déversement pétrolier au large de l’Écosse, souhaite quant à elle exploiter la zone nordique russe de Shtokman, dans la mer de Barents…”
Sources from radio-canada.ca

Dimanche 10 juin de 10h à 17h Mas de Saragosse Millas

dimanche 27 mai 2012

Procès yourte de Banyuls

http://www.lindependant.fr/2012/05/25/la-qpc-jointe-au-dossier,140467.php

La QPC jointe au dossier

Le 25/05/2012 à 06h00 par Barbara Gorrand
 Jean-Louis Préaux est soutenu par la Confédération paysanne, l\'association Halem, la CNT, Sud-Solidaires, la fédération Droit au logement…
Jean-Louis Préaux est soutenu par la Confédération paysanne, l'association Halem, la CNT, Sud-Solidaires, la fédération Droit au logement…  ©  Photos Harry Jordan
Comme en février dernier, et comme en septembre 2011 avant cela, Jean-Luc Préaux n'était pas seul hier matin pour gravir les marches du tribunal. C'est entouré d'une vingtaine de ses soutiens, et avec une grande appréhension, que ce Banyulenc s'est présenté à l'audience à laquelle est suspendu son avenir. Ce qui lui est reproché ? D'avoir installé sur son terrain depuis le 20 avril 2007, une yourte et un abri en bois avec une toiture de tôle.
A la présidente, qui lui demande de s'expliquer, Jean-Luc Préaux répond qu'il ne s'agit pas d'un choix de vie, mais d'une nécessité. "Je me suis installé sur mon terrain, parce que lorsque je me présente dans une agence pour demander un logement, avec mes revenus on me rit au nez". Ce terrain classé en zone naturelle, il l'exploitait en fermage depuis 1996, avant de l'acquérir auprès de la Safer à la fin 2006. Et c'est suite à une plainte d'une propriétaire voisine - qui ne s'est pas constituée partie civile - qu'il se retrouve poursuivi pour "infraction aux dispositions du plan local d'urbanisme".

'Etat de nécessité' contre 'remise en l'état'

"A première vue, la situation de M. Préaux peut sembler sympathique : 'je me loge sur mon terrain parce que je n'ai pas les moyens, et j'essaye de causer le moins de dégâts possibles au sol', a entamé M. Danlos, le procureur, en invoquant le fantasme du Robinson Crusoé. Mais si la loi pénale vient régir ce type de situation, c'est qu'il y a des intérêts à prendre en compte : ceux des tiers, en l'occurrence des voisins, les intérêts esthétiques, environnementaux … Le problème de l'état de nécessité, c'est qu'il faudrait recevoir cet argument pour tous ceux qui installent des caravanes sur des terrains agricoles ! Je vous demande donc d'entrer en voie de condamnation : je ne vais pas vous demander l'amende prévue par la loi, mais de le condamner à remettre en état son terrain, sous astreinte après un délai de trois mois".
"Ma situation n'a rien d'enviable"

Me Summerfield, pour la défense, a repris un à un les points soulevés par le ministère public. "On nous parle de site classé, mais ce n'est pas pour cela qu'est poursuivi M. Préaux ; il l'est pour méconnaissance du droit local d'urbanisme. Pourtant aucun panneau à l'entrée du site n'y interdit quoi que ce soit. Dans sa yourte, il n'y a pas d'eau, pas de sanitaires, ce n'est pas une construction légère de loisir : c'est une tente… Or il n'y a pas d'interdiction de camper non plus à l'entrée du site. Je vous demande donc de le relaxer".
Concernant l'entrepôt construit en vue de stocker du matériel agricole, Me Summerfield a précisé qu'un permis de construire est en cours d'instruction. "Il fait tout pour régulariser sa situation, on ne peut pas dire qu'il se moque des règles", a-t-elle conclu. La décision a été mise en délibéré au 13 septembre prochain. Jean-Luc Préaux, lui, nourrit l'espoir que d'ici là, sa situation aura évolué. "Je ne resterais pas si ma situation me permettait autre chose : casser la glace en plein hiver pour avoir de l'eau n'a rien d'enviable…»

samedi 26 mai 2012

Yourte de Banyuls

http://minilien.fr/a0n7mt


Perpignan

Décision le 13 septembre pour l'agriculteur banyulenc vivant dans une yourte

Le 24/05/2012 à 11h10 par Barbara Gorrand

Une vingtaine de personnes sont venues soutenir ce matin devant le tribunal de Perpignan Jean-Luc Preaux, qui comparaissait pour "infraction aux dispositions du plan local d'urbanisme". Propriétaire d'un terrain sur les hauteurs de Banyuls-sur-Mer, sur lequel il exploite des oliviers et quelques hectares de vigne, Jean-Luc Preaux a installé en 2007 une yourte dans laquelle il vit, faute de revenus suffisants pour prétendre à la location d'un autre logement. Le procureur a requis la remise en l'état du terrain, soit la destruction de la yourte et d'un local servant de stockage de matériel agricole.

La décision a été mise en délibéré au 13 septembre prochain.

Voir aussi

http://minilien.fr/a0n7mu

http://minilien.fr/a0n7mv



Autosuffisance alimentaire des territoires ? Le début d'un grand mouvement ?

http://www.rue89.com/zapnet/2012/05/11/la-revolution-peas-love-232100

Dans le même ordre d'idée voir les 2 vidéos déjà postées par une-autre.info  sur la "guérilla jardinière" à Perpignan :

http://une-autre.info/index.php/lecteurs-reportages/items/gardening-guerilla-episode-1.html

et cet article du Monde :

http://minilien.fr/a0n7mr

Débat autour d' Enercoop

 

Jean Monestier                                                                            Le Soler, le 13.05.2012



à                                                          
LIGNES d’ATTAC
                                                      21 ter, rue VOLTAIRE
                                                      75011   PARIS


Réf : 12O13LTA

Au sujet d’ENERCOOP.

                 

Bien que non labellisé expert ou scientifique en quoi que ce soit, je suis militant depuis les années 70, adhérent d’ATTAC depuis la naissance de l’association, et j’aimerais diffuser ma position de citoyen sur Enercoop.
On a su lourdement faire remarquer, à charge de la production d’électricité d’origine nucléaire, que l’électricité ne se stocke pas et que tout kiloWattheure doit être produit au moment où il est consommé, ou vice-versa. Comme les réacteurs nucléaires ont une très grande inertie dans le réglage du volume de leur production, on est obligé de les utiliser en base, pour la partie de la production dont on est sûr qu’elle sera consommée ou exportée, et de faire appel à des sources de production bien plus souples, usines hydrauliques, turbines à gaz, etc., pour répondre aux pointes de consommation (quotidiennes ou saisonnières).
On pourrait dire que l’inconvénient de nombreuses sources d’énergie renouvelable est le même, mais à l’envers. Pour plusieurs d’entre elles, éolienne, photovoltaïque, la production peut varier énormément d’une minute à l’autre, alors que la consommation est moins primesautière. Malgré les nombreux trucs utilisés pour réduire ce problème, et notamment l’effet réseau, où l’éolien breton compenserait (avec quelles pertes de rendement ?) la nuit qui tombe sur le Languedoc, une réflexion soutenue sur le stockage de l’énergie est incontournable. Un livre dont a fait état le réseau Sortir du Nucléaire est paru il y a quelques mois sur ce thème : « Le stockage de l’énergie », coordonné par Serge Odru et édité par Dunod. Il existe plusieurs catégories de techniques dans ce domaine ; les stockages obtenus mécaniquement (chûtes hydrauliques, air comprimé, etc.) ; les stockages sous forme de chaleur (géothermie, sels fondus, etc.) ; et les procédés purement chimiques (batteries, hypercondensateurs, hydrogène, méthane, etc.). Le stockage sous forme d’énergie hydraulique est le plus classique, mais il nécessite de gros moyens à mettre en place par un investissement unique, qui peut se révéler très perturbant pour l’environnement sur le terrain. Il faut en effet créer deux retenues d’eau de capacités égales ayant entre elles la plus grande différence possible d’altitude, construire une conduite forcée entre les deux, équiper en aval cette dernière de pompes et de turbines, qui devront bien sûr avoir été reliées au réseau, où que se trouve l’installation en question.
…/…

Il semblerait qu’EDF, qui compte sur les doigts  des deux mains les équipements de ce type qui lui appartiennent, déclare qu’elle n’éprouve pas le besoin d’en construire d’autres. Cela dénote bien une volonté de résoudre en externe et non en interne l’inertie du volume de kWh d’origine nucléaire, et c’est aussi très cohérent avec les propos de certains de ses responsables, quand ils avouent sur les radios nationales, que, au fond, les énergies renouvelables ne les intéressent pas. Il semblerait que les Suisses, au contraire, trouvent un certain plaisir à nous acheter de l’électricité en excès à 3 cts le kWh et à nous la revendre à 15 cts ? 25 cts ? aux heures de pointes. Mais ce sont les Suisses.
Quelle est l’attitude d’Enercoop vis-à-vis de cette question ? Apparemment, nous nous trouvons face à un impensé. Si j’ai bien compris tout ce que j’ai lu et entendu, Enercoop me garantit que, si je lui achète sur une année 2500 kWh pour ma consommation, 2500 kWh issus de sources d’énergie renouvelable seront achetés par Enercoop à des producteurs. Mais Enercoop ne me garantit apparemment aucune simultanéité dans ces opérations. Si j’utilise en grande partie ce courant entre 18h00 et 24h00, la production achetée pour me satisfaire ne sera pas forcément d’origine renouvelable à ces mêmes heures, voire, ce qui serait cohérent, à la minute près. Une compensation anonyme s’opère à travers le réseau. Après des discussions musclées avec des militants faisant pour Enercoop une promotion acharnée sur le plan idéologique, j’ai fini par comprendre que, une fois décodé l’embrouillamini du réseau, géré, rappelons le, par ERDF, et du très libéral mix énergétique, si j’adhère à Enercoop, j’aurai l’honneur de consommer de l’électricité où la part de production d’origine nucléaire ne sera pas de 80 % comme à l’EDF, mais peut-être de 70%, voire de 60% selon les horaires de mes habitudes de consommation. Il s’agirait donc d’abord de soutenir une posture politique, et non une pratique alternative radicale.
Très personnellement, je maintiens que cela ne me convient pas. J’ai fait partie des gens qui ont évoqué la personnalité de René Dumont lors de la première réunion des Amis de la Terre de Paris où il a été question de présenter un candidat aux élections présidentielles de 1974 (j’ai même eu la chance, grâce à mon père, qui était élu local, de lui apporter trois signatures de soutien). En 1976, j’ai aidé à convoyer des bus du 14ème arrondissement de Paris à Nogent-sur-Seine pour y exprimer l’ineptie de l’implantation d’une centrale nucléaire à 100 km de Notre-Dame. En 1978, je suis allé marcher sous la pluie à Malville pour protester contre les nucléocrates qui se sont révélés prêts à tuer pour développer leur ruineux délire. Malgré une manifestation apparemment plus fructueuse à Plogoff quelques années après, j’ai entretenu vis- à vis de la production d’électricité d’origine nucléaire une opposition obstinée et non négociable qui a été renforcée par le cataclysme de Tchernobyl en 1986. J’offre largement autour de moi l’édition « poche » de « La supplication », de Svetlana Alexievitch, allant parfois jusqu’à en envoyer un exemplaire auprès de personnalités qui ont prétendu gérer l’Etat au plus haut niveau, et qui, manifestement, ne savent pas de quoi elles parlent quand il s’agit des risques nucléaires auxquels on soumet les peuples.
…/…

Il m’est donc strictement impossible de tourner le dos à tout cela pour soutenir Enercoop, qui n’a pas de politique suffisamment claire de distribution d’électricité, encore moins de politique de stockage de l’énergie, et me propose apparemment avant tout un mix énergétique vaguement « verdi ».
Et pourtant des recherches sont en cours, des projets sont étudiés dans différents pays. De la lecture du livre coordonné par Odru, j’ai retenu le stockage hydropneumatique, moins encombrant pour l’environnement, plus adapté à de petites collectivités, plus modulable aussi en fonction de budgets plus modestes, et, bien sûr, même s’il s’agit de technologies sophistiquées, les supercondensateurs, qui permettent, pour les tramways et autres équipements à démarrages fréquents, de diviser par deux le calibre des installations fixes d’alimentation électrique, et donc la quantité de cuivre, d’acier et de béton qu’il faut leur consacrer. J’ai vu aussi un film sur une ville allemande qui produit en interne 10 fois plus de courant électrique qu’elle n’en consomme. Elle en fait du méthane, via l’électrolyse de l’eau suivie d’une recombinaison de l’hydrogène qui en est issu avec du carbone issu du gaz carbonique de l’air. On appelle ce processus, sans doute assez complexe à mettre en œuvre, la méthanation. On remplit ensuite un gazomètre très classique de ce méthane, à partir duquel une turbine à gaz permettra  de retrouver de l’électricité à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit.
Quant au « mix énergétique », il considère les différentes sources d’électricité comme équivalentes en qualité. De son côté, le « prix unique » issu de la main du marché confond indistinctement les différents usages qui en sont faits. Je pense qu’il s’agit d’outils tout à fait libéraux, éloignés de toute préoccupation écologique, qui dissuadent de distinguer les productions nocives des productions soutenables, mais aussi les usages pertinents, par exemple la traction des tramways départementaux, qui ne consommaient presque rien, des gabegies actuellement non surtaxées que sont par exemple le chauffage des locaux par effet Joule ou la traction des TGV à 300 km/h et au-delà. Il faudra bien qu’Enercoop  ou les militants soucieux d’énergie acceptent de mettre un peu la main dans ce cambouis là. Ensuite on pourra parler d’éthique écologique, de politiques énergétiques, et de positions/actions citoyennes.
                               Jean Monestier :
Diplômé en économie auprès de l’Université de Toulouse,
                       Artiste-Auteur-Indépendant
                         Objecteur de croissance.

lundi 21 mai 2012

Compte-rendu du café repaire du 17 mai 2012 écrit par Ronan

Je ne sais pas quelle lune a frappé ce soir là mais ce '' Repère'' fut bizarre ; personne ne voulait présider, pas d'ordre du jour mais beaucoup d'apartés entre
    la petite quinzaine de repérables qui étaient là.

         J'ai noté au passage :
                          en dehors des dates déjà annoncées, rappel de l'expo de Caroline à la médiathèque de Prades : un étonnant carnet de voyage en Italie ... jusqu'au mercredi 30 mai.

                                                                                     Bruno nous signale qu'il organise une Fête - Anniversaire de la Coupure d'Eau à Joch le mardi 19 juin
                                                                                             Pour des précisions taper Wikijoch sur Gougueule ...

(sur le blog 'http://lemurparle.blogspot.fr/search/label/joch')


      Des participants me signalent le mauvais accueil fait à mon affiche : à coups d'interrogations minuscules, réalistes et surréalistes, je m'étais permis quelques ironies
      plus ou moins humoristiques autour du portrait du nouveau président ....

          Dans la discussion : question du STO pour rmistes en Allemagne à 1 euro  de l'heure comme en GB.
                                                                 - privatisation de la police des frontières en GB

         Intervention de Béa dont L'EquiThé Café doit rouvrir tout début juin à Prades, rue du Palais de Justice : elle nous évoque sa rencontre avec un certain
              Jean Deparis qui aurait beaucoup de révélations à nous faire sur des temps qui s'annoncent difficiles : son site ayant été récemment saboté il doit renaître
        après le 21 / 05 ....

                           Quant à moi, je signale un article du Monde évoquant de nouveaux panneaux solaires où la conversion photon-électrons devient six fois plus puissante.

       Un fait curieux : personne n'évoque la nouvelle situation politique, ni la campagne en cours dans le Conflent.
        Tous K.O par le passage en Hollandie ?


             Jeudi 21 juin prochain Repère ....

                                                                          A+

Ronan

Si certaines personnes trouvent ce compte-rendu incomplet qu'elles prennent leur plume et apportent leurs précisions.

Parution de "Le Soleil en face" ( éditions l'Echappée)

 Livre critique sur l'énergie solaire signalé par PMO (Pièces et Main d'Œuvre)


"Bonjour,

Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Les critiques après-coup ne valent rien ; ou alors il faut faire de l'histoire. On peut demander : à quoi auraient servi les critiques contre le nucléaire civil et militaire, en mai 1939, quand Irène et Frédéric Joliot-Curie déposaient leur brevet sur les "Perfectionnements aux charges explosives" - c'est-à-dire la bombe atomique ? A rien, sans doute, mais on ne le saura jamais, puisque cette critique n'eut pas lieu en "temps réel" comme dit le sous-langage contemporain.

Que le pire nous soit promis et inévitable, soit. Mais faisons en sorte de ne pas le mériter par notre silence ou notre incurie. Grâce au livre de Frédéric Gaillard, "Le soleil en face - Rapport sur les calamités de l'industrie solaire et des prétendues énergies alternatives", nos lecteurs au moins ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas.

Depuis le « choc pétrolier » de 1973, et plus encore depuis les catastrophes de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011), les énergumènes qui nous gouvernent sont à la recherche d’« énergies alternatives » : géothermie, biomasse, éolien, hydrogène, etc. Mais le véritable Graal de cette quête d’un combustible inépuisable et à vil prix reste l’énergie solaire qui, sauf imprévu, nous alimente pour encore 4,5 milliards d’années.

L’énergie, c’est le « power » dit l’anglais qui confond les deux notions dans le même mot. Sur toute la planète, dans tous ses laboratoires, le complexe scientifico-industriel s’est lancé dans une course éperdue aux technologies solaires les plus puissantes, les plus rentables, les plus complexes, les plus centralisées, les plus destructrices. En France, c’est le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA-EA) qui mène cette course avec ses rejetons et partenaires. Et voilà comment les pillards de pétrole et d’uranium fossiles s’accaparent maintenant le soleil. C’est dire que les rêves d’énergie solaire artisanale et individuelle, à la mode de L’an 01 et des premiers numéros de La gueule ouverte sont déjà cuits. Le soleil ne brillera pas pour tout le monde.

Après les sacrifiés à l’idole nucléaire voici ceux du nouveau culte solaire : expropriés des « terres rares », des terres agricoles, des steppes et déserts réquisitionnés pour les centrales solaires, victimes des ravages environnementaux – chimiques notamment -, de cette nouvelle industrie. Les cobayes du laboratoire planétaire, eux, devront toujours leur énergie à une techno-caste spécialisée et toute-puissante."

"Ce livre entend critiquer l'industrie solaire pour ce qu'elle sera : une avancée stratégique de l'électrification du monde. Un apport décisif à la réquisition de nos vies par l'économie. Loin de l'utopie d'une énergie "propre", produite localement avec un peu de sable comme matière première, cette énième prolifération high tech ouvre un nouveau cycle de centralisation industrielle et politique, apportant son cortège de calamités, de molécules innovantes, d'investissements lourds, de procédés polluants, de spéculations et de pillage."

"Frédéric Gaillard est un semi-urbain trentenaire qui peine toujours à trier ses déchets depuis son dernier ouvrage, en collaboration avec Pièces et main d’œuvre : L’Industrie de la contrainte (L’Echappée, 2011)."

Disponible en librairie.
Editions L'Echappée, 2012
157 p., 11 €.


mercredi 16 mai 2012

Marcevol : Fête de la Biodiversité 27 mai 2012



Bonjour à toutes et tous,
 

Notre journée de mai (le 27 mai) sera cette année consacrée à la biodiversité. 

Nous espérons vous y voir nombreux, et les activités ne manqueront pas (vous en trouverez le détail sur l'affiche ci-jointe, à diffuser sans modération autour de vous). 

N'oubliez pas le pique-nique tiré du sac et partagé collectivement.
 

Amicalement et à bientôt,

 Le CA de l'association

Prades : Localement Vôtre en Conflent : dimanche 20 mai



hola !
Echo Amo sera présent à cette journée !
une occasion de nous rencontrer
avant notre prochaine journée "pré ouvert" du 1er juillet prochain
pour Echo Amo
Marcel
    Bonjour à tous,
Nous sommes à J moins 4 de notre journée Rendez-vous festif  de « Localement Vôtre en Conflent ».
  

Un RDV festif

DIMANCHE 20 MAI de 10h à 18h

Place du marché,    Prades

 
Nous allons présenter notre association à la population du Conflent et mettre en valeur nos savoir- faire par la présence des productions et activités des producteurs de richesses déjà adhérents.
De 10h à 18h, les animations et explications sur les stands de nos adhérents présents, feront connaître leur manière de travailler dans une démarche de qualité.
Les adhérents n’étant pas disponibles ce jour-là pourront être représentés sur le stand commun, où les visiteurs feront connaissance avec les buts et valeurs de l’association.
Il leur sera proposé de nous rejoindre dans notre démarche en adhérant à  « Localement Vôtre en Conflent ».
L’objectif premier de la journée ne sera pas de vendre nos produits, mais de valoriser nos savoir-faire et présenter l’intérêt de notre démarche collective.
Le public sera accueilli sur le stand commun, un café où un thé sera offert pour favoriser les échanges et la convivialité.
Des animations et présentations ponctuelles se répéteront régulièrement,  ainsi que des interventions musicales, donnant à profiter longuement de l’évènement.
Chacun appréciera les productions  de bouches (du lait au jus de fruits, en passant par le miel…), artisanales (des vêtements à la poterie,  en passant par les bijoux…), de services, de culture et des initiatives collectives...
 
Venez et faites venir vos amis.
Faites-le savoir, transmettez cette information à vos contacts
Merci.
 

Conférence-débat des Amis du Monde Diplomatique 66


animée par Raoul-Marc JENNAR

Politologue, Membre du Conseil Scientifique d’Attac, Collaborateur du Monde Diplomatique


Jeudi 24 Mai 2012 à 20h00

Conseil Général - Salle Canigò 30 rue Pierre Bretonneau

PERPIGNAN



jeudi 10 mai 2012

Perpignan 12 mai 2012

Pour la préparation des actions clownesques et de la chorale, 
nous nous retrouvons le samedi 12 Mai 
au CEMA à partir de 9h30 avec un repas partagé 
(3 rue du Puits qui chante, perpendiculaire à l'avenue de la gare). 




POUR UN 3EME TOUR 

DANS LA RUE !

UN 12 MAI 

INTERNATIONAL !

RENDEZ VOUS LE SAMEDI

12 MAI A 15H 

PLACE DE LA VICTOIRE

(CASTILLET) !






La répartition actuelle des ressources économiques condamne l’immense majorité de la population mondiale à la pauvreté ou à l’incertitude quotidienne, et laissera aux futures générations un héritage marqué par les risques environnementaux. Et ceci pour bénéfice de quelques-uns. Nous exigeons une justice sociale, nous ne reculerons pas dans la défense de nos droits. Nos représentants ont l’obligation de faire respecter nos besoins,
ils doivent nous écouter.

Comme nous l'avons fait le 15 octobre dernier, faisons que les rues soient le plus grand haut-parleur du monde le 12 mai. Parce que nous sommes 99%. Parce que nous ne sommes pas des marchandises dans les mains des politiciens et des banquiers.
Prenons les rues le 12 mai. Exigeons une réelle démocratie maintenant!

Ce mois de mai sera le premier anniversaire du mouvement international des indignés qui a vu le jour en Espagne, au lendemain du printemps arabe. Depuis, ce mouvement n’a cessé de trouver un véritable écho dans plusieurs villes à travers le monde. Le 15 octobre 2011 fut une date clé qui a réuni simultanément plus d’un million de personnes dans 951 villes.
Un an après, les indignés de Madrid ont lancé un appel qui fut rapidement relayé par Occupy Wall Street. En raison de son importance stratégique et des liens qui se sont tissés entre les indignés des différents pays, Perpignan répond présent à l’appel du 12 mai 2012 (12M) et invite également les autres villes de France à une mobilisation massive, porteuse de résistance pacifique. 
Cet appel s’adresse à toutes les personnes qui s’indignent de la situation mondiale actuelle tant au niveau global que local. Chacune et chacun est invité à participer à l’organisation de ce « Global Evolution Day ».

Pour rappel, le mouvement des indignés se veut horizontal et non-hiérarchique, chaque individu est invité à s’y impliquer.

Laissons nos logos à la maison et unissons-nous au-delà de nos appartenances quelles soient étudiantes, syndicales, politiques ou autres.
SAMEDI 12 MAI A 15H PLACE DE LA VICTOIRE (CASTILLET) !





Nous rejoindre : Facebook : Democracia Real Ya Perpignan / democracia.real.ya.perpignan@gmail.com



Facebook DRY PERPIGNAN : http://www.facebook.com/pages/Democracia-Real-Ya-Perpignan/223847477641533





lundi 7 mai 2012

Le Conflent à la télé

Un message de Joël qui nous reçoit pour les cafés repaires à Villefranche de Conflent au bar 'Le Canigou'.
Il organise des rediffusions de l'émission Des Racines et des Ailes ainsi que d'autres émissions à venir

De : joel mene
Date : 6 mai 2012 17:03
Objet : rediffusions de l'émission "des RACINES & des AILES" au bar "le CANIGOU"...

les 9, 16 et 25 mai, en soirée ...... inscrivez-vous ...
adiu
Puis, notez bien cette autre date : 22 juin, sur écran géant, en plein air, devant BOUTIQUE DU CHAMPIGNON, 22h, rediffusion de la partie catalane des "RACINES & des AILES"+ émission d'ARTE (qui aura été diffusée au préalable le 18 juin, 18h sur nos petits écrans) + CAP SUD OUEST spécial CONFLENT (qui sera sur nos antennes, quelques jours avant, sur FRANCE3, le 16JUIN 2012, à 16h25)

Après l'école Jeanne Hachette : nouvelle occupation à Perpignan

Bouge Toit vient de réquisitionner un nouveau lieu pour héberger 4 nouvelles familles à la rue. Des besoins en tous genres se font sentir. Vous trouverez ci-dessous deux mails de BT donnant toutes les explications
Anne-Marie Delcamp
Pour le RESF 66

"Bouge toit" vient d'investir, ce vendredi à 13h, un nouveau bâtiment pour procurer un lieu de survie à 5 familles déboutées du droit d'asile. Contraintes de quitter les centres d'accueil, ce sont en tout 17 personnes qui se sont trouvées à la rue.
Le bâtiment occupé est l'ancienne DDE, propriété du CG. Il est situé au 142 avenue du Languedoc, en face le stade Gilbert Brutus et la piscine du même nom (à quelques dizaines de mètres de l'entrée de l'ancien hôpital ).
Il y a un besoin urgent de literies, draps, serviettes de toilettes, ustensiles divers pour cuisiner, assiettes et couverts. Besoin aussi de nourritures non périssables. Pour le moment, seule l'eau a été réinstallée. Pour l'électricité, aucune solution n'a encore été trouvée. Les familles ont besoin d'éclairage, au gaz ou à pile. Tout est prenable.
A apporter dès demain samedi 9h au 142 avenue du Languedoc.
Roger Hillel

Votre nouvelle facilitatrice de la messagerie "Bouge Toit"

Environ 25 personnes ont répondu à l'appel de Bouge Toit, hier, afin de participer à l'ouverture d'un lieu inoccupé, propriété du Conseil Général, situé à Perpignan, situé au 142 avenue du Languedoc avec la collaboration d' Emmaüs, Entraide Roussillon et du Secours Populaire (Elne et Perpignan).
Le lieu se compose d'un grand bâtiment tout en longueur, divisé en suffisamment de pièces pour créer des appartements, avec des sanitaires, puis d'une petite maison qui va servir de collectif, cuisine, douche, pièce commune.

Le but de l'action était de loger 4 familles, déboutées d'Asile et sans toit. Dix adultes et trois enfants, installés maintenant, en ce lieu, depuis le vendredi 4 mai.

Immédiatement après l'ouverture, nous sommes entrés en contact avec le Conseil Général afin de les tenir au courant de notre action et nous avons invité la presse à venir constater.

Les journaux, L'Indépendant, Le travailleur Catalan et La semaine du Roussillon, une radio France Bleu Roussillon ainsi qu'une chaîne de télévision FR3 se sont déplacés, nous les en remercions.

Durant la journée 20 à 25 personnes se sont succédé sur les lieux afin de les rendre viables le plus rapidement possible. Emmaüs et Entraide Roussillon ont livré le mobilier nécessaire à un début d'installation pour ces familles.
L'eau est installé, il n'y a pas d'électricité.

Les familles se sont, ensuite, rendues au Secours Populaire afin de s'y inscrire et recevoir l'aide alimentaire nécessaire à leur survie. 
Les conditions de satisfaction concernant cette aide alimentaire ainsi que les cours de français leur ont été expliqué. 
Selon le "Donnant, Donnant" principe appliqué par le Secours Populaire, ces femmes et ces hommes s'investissent en travaillant pour le secours populaire.

Entre 19h et 20h30, d'autre nous ont rejoint, dont des amis d’Argelès et les Indignés. Une réunion rapide, puis un constat, nous avions un peu faim et soif. Seule, la musique manquait à l'appel ; le pain, le vin et le saucisson était de qualité comme toujours en Roussillon, la soirée s'est terminée vers 22h.

Après dernier constat
Requête : pour ceux qui le peuvent, le veulent ou désirent se dépasser

Seront bienvenus
Du matériel d'éclairage de camping, lumagaz etc... des bougies 
Des couvertures, duvets, draps, serviettes...

Pour ceux qui rendraient visite aux familles et le pourraient,
des fruits ou des légumes frais, de l'eau, café, thé, sucre, oeufs, yogurt, fromage, 
Tout ceci, étant normalement fourni par le Secours populaire, mais nous étions hier en fin de journée, la veille d'une fermeture de 5 jours.

Azucena, pour Bouge Toit

Appel pour le 12 mai 2012

Deux petites vidéos venues d'Espagne et sous titrées qui résument bien la situation


http://www.youtube.com/watch?v=0FWTGmb33Gc&feature=watch_response_rev

 http://www.youtube.com/watch?v=0ZVzbk5keyc&feature=player_embedded

Débat PMO/Cancer français/Mermet

 Suite du débat Pièces et Main d'Œuvre (PMO)

François Ruffin a répondu aux deux premiers articles de PMO dans son journal Fakir


http://www.fakirpresse.info/Reponse-a-nos-camarades-de-Pieces.html


et PMO enfonce le clou

http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=366

Immigration : de quoi remettre les idées à l'endroit !!!

Ces chiffres sont la meilleure réponse aux idées reçues et clichés xénophobes.
 

 
 
Pour mettre les choses au point et avoir quelques arguments contre les obsédés de la fermeture des frontières...





Trois petits films d'animation contre les idées reçues,
imaginés et conçus par la députée européenne Hélène Flautre (EELV) : 

jeudi 3 mai 2012

Premier Mai Prades : Chorale 'Révolutionnaire'


 Article Indépendant

http://prades.blogs.lindependant.com/archive/2012/05/01/1-mai-tres-frequente.html



La chanson de circonstance était celle de Dominique Grange : "Dégage, dégage, dégage, dégage"

http://danactu-resistance.over-blog.com/article-dominique-grange-le-retour-degage-degage-degage-103827748.html


Dominique GRANGE                        Dégage, dégage, dégage !            avril 2012
Il pleut, il pleut, il pleut
Rentre tes noirs moutons
Notre usine a fermé, disparus les patrons
Envolées les machines au Maroc ou en Chine
Et nous là comme des cons : délocalisation.
T’as cherché à faire croire, et y en a qui t’ont cru
Que tu s’rais le sauveur des pauvres et des exclus
Qu’on allait en finir avec tout ce gâchis
Qu’aucun loup n’entrerait plus dans la bergerie.

Il pleut, il pleut, il pleut
Voici venir l’orage
Il pleut, il pleut, il pleut
Dégage, dégage, dégage, dégage !

Tu as fait semblant d’entendre la colère et l’angoisse
Des métallos lorrains condamnés à la casse
Tu as baratiné aux quatre coins de France
Des milliers d’ouvriers sacrifiés d’avance
Avec des jolis mots : « Egalité, Justice,
Solidarité « dans ton sac à malices
Tu as soufflé des promesses sur les braises de l’espoir
Mais tu les a trahies dès qu’ t’as eu le pouvoir.

Il pleut, il pleut, il pleut
Et nous avons la rage
Il pleut, il pleut, il pleut
Dégage, dégage, dégage, dégage

Des sans-droits, des sans-voix, des damnés de la Terre
Des roms désignés comme boucs émissaires
Des clandestins errants aux marches du Sacré-Cœur
Aux gamins foudroyés dans un transformateur
Regarde-là, cette France que tu as méprisée
Celle des sans-papiers, précaires, handicapés
Celle des suicidés, harcelés au turbin
Forcés de trimer plus pour gagner toujours moins.

Il pleut, il pleut, il pleut
Tu peux plier bagages
Il pleut, il pleut, il pleut
Dégage, dégage, dégage, dégage !

Allez qu’ils s’en aillent tous
Rentre tes noirs moutons
Tes éminences grises et tes voyous de patrons
Les gardiens de ton ordre, les fayots de ta Cour
Et les écrivaillons qui pondent tes discours
Vos ministres zélés, sinistres exécutants
Ni oubli, ni pardon pour la chasse aux enfants
A bas les lois racistes, à bas les circulaires
Les contrôles au faciès pour remplir vos charters.

Il pleut, il pleut, il pleut
Y aura pas de rattrapage
Il pleut, il pleut, il pleut
Dégage, dégage, dégage, dégage !

Remballe ton triple A, ta Dette et tes marchés
La Bourse et tes traiders, tes parachutes dorés
Nous avons rêvé qu’un autre monde est possible
Et nous n’acceptons pas d’être des invisibles
Car nous sommes le Peuple, celui qui crée l’Histoire
Fils de 89, rebelle et communard
Dont les insurrections ont forgé nos consciences
Un peuple qui se lève et entre en résistance.

Il pleut, il pleut, il pleut
Voici venir l’orage
Il pleut, il pleut, il pleut
Tu peux plier bagages
Il pleut, il pleut, il pleut
Dégage, dégage, dégage, dégage !

mercredi 2 mai 2012

Le nucléaire en question entre les 2 tours

Petite vidéo sur le 28 avril pour les 26 ans de Tchernobyl


http://une-autre.info/index.php/lecteurs-reportages/items/le-nucleaire-en-question-entre-les-2-tours.html 

Le 28 avril à Perpignan, le collectif Sortir du Nucléaire et le groupe local de Greenpeace se sont réunis pour informer le public entre les 2 tours de la présidentielle.