VOUS POUVEZ NOUS AIDER
EN ENVOYANT CETTE LETTRE
AU PREMIER MINISTRE !
Notre Président n'a pas jugé bon d'inclure la fin de vie dans les sujets qui sont traités dans le cadre du Gand Débat mais cela n'est pas une raison suffisante pour ne pas nous faire entendre.
Vous trouverez ci-après une lettre rédigée par le Collège décisionnel du Choix. Si vous êtes en accord avec elle, nous vous prions instamment de la faire parvenir au format NUMÉRIQUE, pour ne pas gaspiller inutilement de papier, à notre Premier Ministre.
La procédure est très simple.
-
Vous vous connectez à cette page : : https://www.gouvernement.fr/
contact/ecrire-au-premier- ministre, - Vous indiquez votre prénom, votre nom et l'objet de votre message qui pourrait être : QUAND DONC LÉGALISEREZ-VOUS ENFIN L'AIDE ACTIVE À MOURIR ?
- Dans quelle catégorie ? Dans "EXPRIMER UNE OPINION".
- Ensuite, vous copiez tout simplement la lettre que nous avons rédigée pour vous et la collez dans la fenêtre "Message".
- Il ne vous reste plus qu'à compléter quelques informations personnelles
- Et à cliquer sur "Soumettre".
Vous êtes environ 10.000 à avoir rejoint notre association et nous
frôlons les 400.000 signatures sur les deux pétitions. Vous rendez-vous
compte de l'importance que revêtira notre demande si chacun de vous
accepte de consacrer dix minutes à l'envoi de cette lettre ? Dix
minutes, c'est tout ce qu'il faut pour faire entendre votre voix...
Pouvons-nous compter sur vous ?
Cordialement,
Le Collège décisionnel
Monsieur le Premier Ministre,
Je suis membre de l’association LE CHOIX – Citoyens pour une mort choisie, qui a été créée il y a un an pour représenter les 400.000 signataires des pétitions de Marie Godard et Nathalie Gueirard Debernardi.
Pouvons-nous compter sur vous ?
Cordialement,
Le Collège décisionnel
Monsieur le Premier Ministre,
Je suis membre de l’association LE CHOIX – Citoyens pour une mort choisie, qui a été créée il y a un an pour représenter les 400.000 signataires des pétitions de Marie Godard et Nathalie Gueirard Debernardi.
ATTENTION : SI VOUS N'ÊTES PAS ENCORE MEMBRE, VOUS POUVEZ ÉCRIRE : Je suis l'un des 400.000 signataires des pétitions de Marie Godard et Nathalie Gueirard Debernardi
Je vous écris aujourd’hui pour protester du fait que le Président
Macron n’a pas jugé à propos d’inclure la fin de vie dans les sujets qui
sont traités dans le cadre du Grand Débat. S’il est un sujet qui
concerne tous les Français, c’est bien celui-là ! Alors dites-moi, votre
gouvernement saisira-t-il l’occasion de se démarquer de ceux qui l’ont
précédé et trouvera-t-il le courage de légaliser l’aide active à mourir,
cette loi que les Français demandent dans toutes les enquêtes et les
sondages, à hauteur de près de 90%, et cela depuis plus de dix ans ?
Vous remarquerez que La Ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn, n’est pas en copie de cette lettre. Cela serait parfaitement inutile car elle répète à l’envi qu’il faut laisser une chance à la loi Claeys-Leonetti de se mettre en place partout en France. N’importe quel médecin de terrain ayant une réelle connaissance de ce qu’est la fin de vie d’un grand nombre de Français dans les unités de soins palliatifs, lorsqu’elles existent, exprimerait une empathie, une humanité dont Madame Buzyn se montre dépourvue, elle qui n’a pratiquement jamais travaillé auprès des malades, qui ne connaît pour ainsi dire que les amphithéâtres des grandes facultés de médecine et les laboratoires de recherches, et qui a des accointances avec certains laboratoires pharmaceutiques que d’aucuns trouveraient discutables…
Comment voulez-vous que les Français ne soient pas choqués, révoltés même, qu’un sujet aussi important que la fin de vie soit balayé d’un revers de main par le législateur ?
Combien de temps faudra-t-il encore attendre avant que l’on donne aux Français le droit de choisir leur fin de vie ? Nous avons le droit de nous marier, ou pas. D’avoir des enfants, ou pas. Les femmes ont le droit de se faire avorter. Les homosexuels ont le droit de vivre ensemble dans la légalité. Nous pouvons choisir les études que nous allons faire et le métier qui nous fera vivre. Mais on refuse de nous donner les moyens, juridiques et médicaux, lorsque que nos souffrances physiques ou psychiques sont devenues insupportables, de mettre paisiblement fin à notre vie, entourés de ceux que nous aimons.
Vous me répondrez que le suicide n’est pas illégal en France et je vous répondrai qu’il est honteux que, faute de loi leur permettant de mettre fin à leurs souffrances de manière sereine et indolore, des milliers de gens se jettent chaque année de la fenêtre d’un immeuble ou sous un train; se pendent à un arbre de leur jardin, ou se ratent en avalant tous les comprimés qu’ils ont trouvé dans la maison.
Et si c’était vous, Monsieur le Premier Ministre ? Et si c’était votre épouse, ou l’un de vos enfants ? Ne vous empresseriez-vous pas de la voter, cette loi, pour ne pas avoir à partir mourir loin de vos proches, en Belgique ou en Suisse, à condition d’en avoir les moyens et d’être encore transportable ?
Monsieur le Premier Ministre, cela suffit ! Nous n’en pouvons plus de l’hypocrisie qui règne en raison de cette loi quasi inutile et qui l’est devenue plus encore avec les dernières directives de la HAS !
Monsieur le Premier Ministre, donnez-nous le choix du moment et de la manière de notre mort lorsque les souffrances sont devenues insupportables, car si vous ne faites rien, le quinquennat pourrait s’achever sans que vous ayez eu le temps de laisser un souvenir positif dans la mémoire collective.
Recevez, Monsieur le Premier Ministre, mes respectueuses salutations.
Vous remarquerez que La Ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn, n’est pas en copie de cette lettre. Cela serait parfaitement inutile car elle répète à l’envi qu’il faut laisser une chance à la loi Claeys-Leonetti de se mettre en place partout en France. N’importe quel médecin de terrain ayant une réelle connaissance de ce qu’est la fin de vie d’un grand nombre de Français dans les unités de soins palliatifs, lorsqu’elles existent, exprimerait une empathie, une humanité dont Madame Buzyn se montre dépourvue, elle qui n’a pratiquement jamais travaillé auprès des malades, qui ne connaît pour ainsi dire que les amphithéâtres des grandes facultés de médecine et les laboratoires de recherches, et qui a des accointances avec certains laboratoires pharmaceutiques que d’aucuns trouveraient discutables…
Comment voulez-vous que les Français ne soient pas choqués, révoltés même, qu’un sujet aussi important que la fin de vie soit balayé d’un revers de main par le législateur ?
Combien de temps faudra-t-il encore attendre avant que l’on donne aux Français le droit de choisir leur fin de vie ? Nous avons le droit de nous marier, ou pas. D’avoir des enfants, ou pas. Les femmes ont le droit de se faire avorter. Les homosexuels ont le droit de vivre ensemble dans la légalité. Nous pouvons choisir les études que nous allons faire et le métier qui nous fera vivre. Mais on refuse de nous donner les moyens, juridiques et médicaux, lorsque que nos souffrances physiques ou psychiques sont devenues insupportables, de mettre paisiblement fin à notre vie, entourés de ceux que nous aimons.
Vous me répondrez que le suicide n’est pas illégal en France et je vous répondrai qu’il est honteux que, faute de loi leur permettant de mettre fin à leurs souffrances de manière sereine et indolore, des milliers de gens se jettent chaque année de la fenêtre d’un immeuble ou sous un train; se pendent à un arbre de leur jardin, ou se ratent en avalant tous les comprimés qu’ils ont trouvé dans la maison.
Et si c’était vous, Monsieur le Premier Ministre ? Et si c’était votre épouse, ou l’un de vos enfants ? Ne vous empresseriez-vous pas de la voter, cette loi, pour ne pas avoir à partir mourir loin de vos proches, en Belgique ou en Suisse, à condition d’en avoir les moyens et d’être encore transportable ?
Monsieur le Premier Ministre, cela suffit ! Nous n’en pouvons plus de l’hypocrisie qui règne en raison de cette loi quasi inutile et qui l’est devenue plus encore avec les dernières directives de la HAS !
- Sédation profonde et continue autorisée quelques heures, voire quelques jours avant la mort ?
- Respect des directives anticipées du malade, sauf lorsque le médecin les « juge manifestement inappropriées » ?
Monsieur le Premier Ministre, donnez-nous le choix du moment et de la manière de notre mort lorsque les souffrances sont devenues insupportables, car si vous ne faites rien, le quinquennat pourrait s’achever sans que vous ayez eu le temps de laisser un souvenir positif dans la mémoire collective.
Recevez, Monsieur le Premier Ministre, mes respectueuses salutations.
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