Ce blog rassemble, à la manière d'un journal participatif, les messages postés à l'adresse lemurparle@gmail.com par les personnes qui fréquentent, de près ou de loin, les cafés repaires de Villefranche de Conflent et de Perpignan.
Mais pas que.
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Quelle que soit l'explication (tirée par les cheveux) de cette affiche, son affichage dans l'espace public (sans explication, donc) m'a choqué. Je ne vois pas l'humour, mais le colportage du machisme même à l'extrême gauche. Triste.
RépondreSupprimerJe ne suis pas l'auteure de cette affiche mais je pense qu'il faut la prendre avec toute l'ironie nécessaire et le énième degré de l'humour.
RépondreSupprimerHum. Je ne suis pas d'accord. L'humour excuse tout, justifie tout. Une blague machiste par quelqu'un qui ne serait pas machiste ? Peut-être en privé. Mais dans l'espace public, c'est une erreur à mon avis.
RépondreSupprimerc'est moi l'auteure de cette affiche et J'ai voulu par le biai d' une petite bd faire part de la manif de Nantes, et en prime un clin d'oeil aux femmes en espagne qui n'ont pas trouvé d'autres solutions que de faire enregistrer leur corps comme valeur immobilière, en espèrant garder le droit à l'avortement. En tant que femme je suis complètement solidaire avec nos voisines, de l'autre côté de la frontière. Je ne vois pas du tout où est le machisme de l'extrême gauche. Allez un peu d'humour dans ce monde de m....
RépondreSupprimerÀ Nicole. Merci pour votre réponse, car maintenant je comprends bien votre idée. C'est grâce à cette discussion avec vous et grâce à l'info que je n'avais pas sur ces femmes qui ont enregistré leur corps que je peux comprendre le trait d'humour de cette affiche. L'affiche seule, sans info, adressée au quidam (moi ou quelqu'un d'autre) peut faire chou blanc voire, en l'occurrence, propager le contraire de ce qu'elle prétend.
RépondreSupprimerIl me semblait important de le signaler en soutient à ces femmes qui combattent pour garder leur liberté, et nous pouvions aborder le sujet lors du café repaire, car bon nombre n'était pas au courant.
RépondreSupprimerLes deux liens mis en bas de l'affiche ici expliquent bien comment et pourquoi les femmes espagnoles ont été enregistrer leurs corps comme biens mobiliers. C'est vrai que pour la rue, à moins de connaitre l'info, on ne pouvait pas comprendre.
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