On a reçu ça :
Marche pour le Futur
samedi 9 avril Perpignan
MARCHE POUR LE FUTUR
Pour porter haut et fort les valeurs du monde de demain, celles de la justice sociale, de la préservation du climat, de l’égalité et de la paix, des organisations appellent à se rassembler à Perpignan le samedi 9 avril.
À la veille du premier tour de l’élection présidentielle, alors que l'actualité est peu réjouissante - guerre en Ukraine, crises climatique et sanitaire, explosion des inégalités, hausse du prix de l'énergie et de toutes les matières premières, montée des discours de haine... - associations, collectifs et syndicats s’unissent pour appeler à des « Marches Pour le Futur » le 9 avril partout en France. Le nom de cette marche porte un message évident : l’avenir, qu’il s’agisse des prochaines élections ou de l’évolution de la société, c’est aux citoyens de l’écrire, alors mobilisons-nous !
Pour les organisateurs il est clair que la transition écologique, qui doit emporter l’adhésion de tous, ne se fera pas sans justice sociale car il n'y aura pas d'emplois sur une planète morte. Le dérèglement climatique n’est plus une question de générations futures, il est constaté partout, provoquant des conséquences déjà dramatiques sur la vie terrestre, qui ne feront que s’amplifier.
Pourtant, ces sujets occupent une place très minoritaire dans les médias et sont les grands oubliés de la campagne présidentielle. À la veille du 1er tour, les organisateurs de cette marche veulent rappeler à l’électorat que ces sujets concernent toute la société et aux candidats que ce prochain mandat marquera le début de la dernière décennie pour contenir un changement irréversible du climat.
À Perpignan, cette marche est organisée par Alternatiba66, Citoyens pour le Climat et Extinction Rebellion soutenus par de nombreux mouvements du territoire tels la CGT, le syndicat Solidaires 66 ou Youth for Climate.
Rendez-vous Place de la République, 14H.
Lien vers l’appel unitaire : https://marche9avril.fr/appel
Bonus :
"Le GIEC met aussi en cause la pensée économique néolibérale, constatant que les investissements du secteur privé sont très loin des besoins identifiés pour arriver aux objectifs climatiques. C’est la première fois que le groupement de chercheurs plaident pour une rupture avec la logique de croissance inhérente au capitalisme et fait écho à ses scénarios et hypothèses qui n’oublient pas les exigences d’égalité sociale dans les politiques à mettre en œuvre. En effet, il dénonce les inégalités qui s’accroissent dans la responsabilité de la situation présente, pointant le fait qu’à l’échelle mondiale, les 10 % les plus riches sont à l’origine de 36 à 45 % des émissions, quand 10 % des plus pauvres sont responsables de 3 à 5 %...."
Voici le CP d'Attac paru hier
https://france.attac.org/actus
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