Le Foyer laïque de Fillols et la bibliothèque Omnibus ont le plaisir de vous inviter
LE MARDI 16 AVRIL
à 20H30
salle des fêtes de Fillols
à la présentation publique de
« PRENEZ GARDE À LA PEINTURE… ET À FRANCIS PICABIA ! »
UN FILM DOCUMENTAIRE DE RÉMY RICORDEAU
(2018 / 100mn)
EN PRÉSENCE DU RÉALISATEUR
LE MARDI 16 AVRIL
à 20H30
salle des fêtes de Fillols
à la présentation publique de
« PRENEZ GARDE À LA PEINTURE… ET À FRANCIS PICABIA ! »
UN FILM DOCUMENTAIRE DE RÉMY RICORDEAU
(2018 / 100mn)
EN PRÉSENCE DU RÉALISATEUR
Après être venu l’an passé nous présenter deux documentaires sur l’art Brut, Rémy Ricordeau revient à Fillols pour une rencontre autour de son dernier film : un portrait détonnant de l’artiste Francis Picabia. Voici la présentation qu’en faisait récemment le centre Pom-Pompidou :
« Après avoir, avec son ami Marcel Duchamp, décrété la mort de l’art, Francis Picabia est devenu une référence incontournable aux yeux de ceux qui s’intéressent à l’histoire de l’art moderne et son rapport à la liberté. « Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction » affirmait-il. Il convient de prendre son humour au sérieux : la cohérence de sa démarche réside en effet dans son insatiable curiosité et son goût immodéré de la vitesse et du jeu, cette soif de vivre désespérée qui ne s’est accommodée d’aucun conformisme ni d’aucune autre règle que celle du désir de tout expérimenter.
Peintre polygraphe et iconoclaste, par ailleurs écrivain, poète et amateur d’automobiles, la vie dans tous ses excès était à ses yeux préférable à son oeuvre; et le jeu des passions à la morbidité des dogmatismes. Ce film se propose ainsi de retracer la vie de Francis Picabia en soulignant l’importance de sa singularité dans l’histoire intellectuelle et artistique du XXème siècle »
« Après avoir, avec son ami Marcel Duchamp, décrété la mort de l’art, Francis Picabia est devenu une référence incontournable aux yeux de ceux qui s’intéressent à l’histoire de l’art moderne et son rapport à la liberté. « Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction » affirmait-il. Il convient de prendre son humour au sérieux : la cohérence de sa démarche réside en effet dans son insatiable curiosité et son goût immodéré de la vitesse et du jeu, cette soif de vivre désespérée qui ne s’est accommodée d’aucun conformisme ni d’aucune autre règle que celle du désir de tout expérimenter.
Peintre polygraphe et iconoclaste, par ailleurs écrivain, poète et amateur d’automobiles, la vie dans tous ses excès était à ses yeux préférable à son oeuvre; et le jeu des passions à la morbidité des dogmatismes. Ce film se propose ainsi de retracer la vie de Francis Picabia en soulignant l’importance de sa singularité dans l’histoire intellectuelle et artistique du XXème siècle »
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