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« Freak from Desire »
un festival, de la création et du féminisme qui a besoin de soutien pour exister
Pour la petite histoire, voilà voilà… On va déjà commencer par le début :
Il y a de nombreuses années, des mots se sont assemblés les uns à la suite des autres d’une manière telle que ça a fait un conte « Hétéroland ». Du coup ben ce conte est devenu un court-métrage,100% local et « fais le toi-même ».
Si tu veux un synopsis on va-t’en donner un.
Hétéroland est un pays fictif, très loin qui ressemble vachement à tous les jours, où quand tu y nais tu grandis un peu avec le destin social et relationnel de ton sexe. C’est un pays où on peut dire en gros que dans la vie y’a que des hommes et des femmes, qu’ils sont opposéEs et naturellement complémentaires, hétérosexuelLEs, que y’a la famille, que c’est la nature, que c’est normal, que c’est la vie, son début, sa fin et son but ultime. Que ça a toujours été comme ça. Que c’est La Vérité. Hein. Que le reste on le voit pas, que ça existe pas ou que c’est quand y’a un problème.
Que si t’as un problème, t’es pas normale, alors t’es malade et triste et puniE de distribution de miettes d’amour et de récompenses. Que tout ça conditionne les relations entre les personnes selon leur sexe, avec des rapports de pouvoirs très forts en fonction de si tu te reconnais ou pas dans ces fonctionnements qui existaient déjà avant que tu naisses. À Hétéroland, l’hétérosexualité c’est pas qu’une sexualité mais des rapports qui hiérarchisent très fort les personnes, qui leur distribue des rôles et leur donne plus ou moins de pouvoir les unEs par rapport aux autres.
Bref, c’est un conte sur ce pays fabuleux où un jour une princesse punk qui connaît que dalle à tout ça « observe ses pairEs depuis le haut de son Donjon » et décide d’aller y faire un tour operator en solo. Du coup, elle observe et commente ce qu’elle voit : comment on catégorise et enferme les personnes, les unEs par rapport aux autres, dans des situations sociales précises. Elle se pose des questions, sur ce qu’on appelle les femmes, sur leurs vécus et leurs expériences, à la fois unique et pourtant similaire à Hétéroland.
Et après, on s’est dit qu’un festival ça serait bien aussi.
C’est comme ça que l’idée est venue :
« FreaK FroM DesiRe »
On a décidé de faire un festival féministe et féministe c’est pas un gros mot, c’est pas non plus ce que te raconte ta télé. C’est pas un projet de renversement de la domination où on vivrait dans un monde magique où les femmes se mettraient à dévorer des testicules au petit-déj’. C’est juste de l’empouvoirement : œuvrer à sa propre autonomie dans ses choix et la trajectoire de son existence, pour plus subir et se sentir légitime, actrice. C’est retrouver sa propre force et son propre pouvoir à soi. C’est retrouver des outils face à la vulnérabilité et aux risques auxquels on est plus exposée en fonction de notre sexe et de nos sexualités.
Du coup, le festival va être en deux parties. Une partie journée féministe avec des ateliers de partages d’expériences et de savoirs entre personnes concernées, pour les femmes (cis et trans), hétéras, lesbiennes, pans, bies, assexuelles, onanistes, les personnes non binaires, les personnes queers..
Il y aura plusieurs thèmes comme le consentement, la gynécologie en autonomie, l’autodéfense, du twerk, le safe sex entre personnes avec vagins, la grossophobie, comment on vit nos corps dans des normes sociales... On va partager, parler de nos corps, de nos expériences et de nos sexualités dans des espaces de confiance et de bienveillance, où chacunE aura une place pour exister, être reconnue et s’exprimer. Après tout ça, y’aura des spectacles et la diffusion du court métrage.
La partie du soir est ouverte à touTEs dans la joie et la bonne humeur, avec des concerts, des spectacles, des expos, de la bière et de la bouffe, le tout 100 % local et artisanal. Et surtout beaucoup de love aussi.
Tout bientôt on pourra communiquer plus d’infos et une progra, mais là, c’est surtout pour expliquer notre démarche et nos envies.
Bon du coup pour faire tout ça on a besoin de soutien et ça passe par des soirées de soutien qui s’appelle « Le FreAk c’est chiC » qui nous permettent de récolter des fonds, toujours sur le principe du prix libre pour plus d’accessibilité en fonction des possibilités de chacunEs.
Dans ces soirées de soutien, il y aura des expos, des spectacles, un fabuleaux sound system « What the freak » avec deux créatures fabuleuses et exponentielles Lady Clit et Lady Fist, qui vont faire bouger tes iéps et battre ton coeur sur le beat comme jamais avant.
Là aussi, y’aura une progra avec des dates tout bientôt, bientôt.
un festival, de la création et du féminisme qui a besoin de soutien pour exister
Pour la petite histoire, voilà voilà… On va déjà commencer par le début :
Il y a de nombreuses années, des mots se sont assemblés les uns à la suite des autres d’une manière telle que ça a fait un conte « Hétéroland ». Du coup ben ce conte est devenu un court-métrage,100% local et « fais le toi-même ».
Si tu veux un synopsis on va-t’en donner un.
Hétéroland est un pays fictif, très loin qui ressemble vachement à tous les jours, où quand tu y nais tu grandis un peu avec le destin social et relationnel de ton sexe. C’est un pays où on peut dire en gros que dans la vie y’a que des hommes et des femmes, qu’ils sont opposéEs et naturellement complémentaires, hétérosexuelLEs, que y’a la famille, que c’est la nature, que c’est normal, que c’est la vie, son début, sa fin et son but ultime. Que ça a toujours été comme ça. Que c’est La Vérité. Hein. Que le reste on le voit pas, que ça existe pas ou que c’est quand y’a un problème.
Que si t’as un problème, t’es pas normale, alors t’es malade et triste et puniE de distribution de miettes d’amour et de récompenses. Que tout ça conditionne les relations entre les personnes selon leur sexe, avec des rapports de pouvoirs très forts en fonction de si tu te reconnais ou pas dans ces fonctionnements qui existaient déjà avant que tu naisses. À Hétéroland, l’hétérosexualité c’est pas qu’une sexualité mais des rapports qui hiérarchisent très fort les personnes, qui leur distribue des rôles et leur donne plus ou moins de pouvoir les unEs par rapport aux autres.
Bref, c’est un conte sur ce pays fabuleux où un jour une princesse punk qui connaît que dalle à tout ça « observe ses pairEs depuis le haut de son Donjon » et décide d’aller y faire un tour operator en solo. Du coup, elle observe et commente ce qu’elle voit : comment on catégorise et enferme les personnes, les unEs par rapport aux autres, dans des situations sociales précises. Elle se pose des questions, sur ce qu’on appelle les femmes, sur leurs vécus et leurs expériences, à la fois unique et pourtant similaire à Hétéroland.
Et après, on s’est dit qu’un festival ça serait bien aussi.
C’est comme ça que l’idée est venue :
« FreaK FroM DesiRe »
On a décidé de faire un festival féministe et féministe c’est pas un gros mot, c’est pas non plus ce que te raconte ta télé. C’est pas un projet de renversement de la domination où on vivrait dans un monde magique où les femmes se mettraient à dévorer des testicules au petit-déj’. C’est juste de l’empouvoirement : œuvrer à sa propre autonomie dans ses choix et la trajectoire de son existence, pour plus subir et se sentir légitime, actrice. C’est retrouver sa propre force et son propre pouvoir à soi. C’est retrouver des outils face à la vulnérabilité et aux risques auxquels on est plus exposée en fonction de notre sexe et de nos sexualités.
Du coup, le festival va être en deux parties. Une partie journée féministe avec des ateliers de partages d’expériences et de savoirs entre personnes concernées, pour les femmes (cis et trans), hétéras, lesbiennes, pans, bies, assexuelles, onanistes, les personnes non binaires, les personnes queers..
Il y aura plusieurs thèmes comme le consentement, la gynécologie en autonomie, l’autodéfense, du twerk, le safe sex entre personnes avec vagins, la grossophobie, comment on vit nos corps dans des normes sociales... On va partager, parler de nos corps, de nos expériences et de nos sexualités dans des espaces de confiance et de bienveillance, où chacunE aura une place pour exister, être reconnue et s’exprimer. Après tout ça, y’aura des spectacles et la diffusion du court métrage.
La partie du soir est ouverte à touTEs dans la joie et la bonne humeur, avec des concerts, des spectacles, des expos, de la bière et de la bouffe, le tout 100 % local et artisanal. Et surtout beaucoup de love aussi.
Tout bientôt on pourra communiquer plus d’infos et une progra, mais là, c’est surtout pour expliquer notre démarche et nos envies.
Bon du coup pour faire tout ça on a besoin de soutien et ça passe par des soirées de soutien qui s’appelle « Le FreAk c’est chiC » qui nous permettent de récolter des fonds, toujours sur le principe du prix libre pour plus d’accessibilité en fonction des possibilités de chacunEs.
Dans ces soirées de soutien, il y aura des expos, des spectacles, un fabuleaux sound system « What the freak » avec deux créatures fabuleuses et exponentielles Lady Clit et Lady Fist, qui vont faire bouger tes iéps et battre ton coeur sur le beat comme jamais avant.
Là aussi, y’aura une progra avec des dates tout bientôt, bientôt.
Bonjour bonjour de Wargasound
Nous vous invitons tous à venir nous rejoindre
à l'Entonnoir,
Le week end du 16, 17 juin.
Pour un bien bon bon bien bon
Stage de chansons à chanter tous ensemble
Après trois ans de passages successifs
Après le très chouette concert rassembleur lors de la Fête de soutien, il y a (déjà!!) un an.
Après les nombreux concerts, marchés, stages
Après la pérennisation des sessions Warga en autonome, à l'Entonnoir, 2 fois par mois...
Et Avant
La grande fête pour les dix ans du projet Wargasound
du 20 au 30 juillet en Bretagne
à laquelle vous êtes tous conviés, bien entendu.
Nous vous proposons donc...
De nous retrouver en mode stage bien intensif, pour chanter, ensemble,
Plein de chansons, des nouvelles et des anciennes, avec
Plein d'énergie et pas mal d'instruments.
Samedi 16 juin et Dimanche 17 juin
De 10h00 à 17h00
Avec, comme d'habitude
Repas partagé à midi
Prix libre
Ouvert à tous, même à ceux qui d'habitude ne chantent pas.
Venez nombreux et faites venir, ça nous fera tous bien plaisir !
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