Qu'ils soient agriculteurs, élus ou squatteurs, les protagonistes font entendre une même voix opposée aux grands travaux sur cette zone. Les témoins racontent cette mobilisation qui se poursuit encore aujourd'hui, et qui remonte au début des années 1970, avant même l'affaire du Larzac.
On y découvre que cette zone humide n'est pas devenue la zone de non-droit que dépeignent les médias et les voix officielles, mais le lieu d'une expérience réussie de vie en commun fondée sur la démocratie directe, détachée d'intérêts marchands et respectueuse de l'environnement.
Source : https://www.youtube.com/watch?v=XBvWKxPgCFQ
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire