Réponse 1
18 janv. (Thierry)
- Jeudi 20 à 18h30 : Café repaire de villefranche de Conflent à 18h30 au bar Le Canigou (covoiturage possible à partir de Thuir). Le repaire de Perpignan propose comme thème commun aux repères du coin : Notre pouvoir de citoyen (petit oubli lors du dernier courrier).Il faudrait aussi parler de l’usage et la forme de cette liste mail. Sans oublier le forum social.
-En annexe un texte de Marcel du Conflent. Un peu paradoxal de s’indigner de l’indignation, un peu véhément envers Stéphane Hessel.
******************************
Réponse 2 (Joëlle)
18 janv.
Merci pour cette oeuvre de vigilance et d'information
Il faut juste que Marcel n'oublie pas que l'indignation (la tienne, celle de nombreux autres depuis longtemps et celles que le livre de Stéphane Hessel libère) est le fondement nécessaire de toute mobilisation créatrice et libératrice pour tous.
Voudrais-tu, sous prétexte d'urgence, qu'un peuple de moutons te suive sur les solutions que tu t'es construites ? Les Tunisiens nous rappellent que sous la chape de l'oppression les intelligences continuent de fonctionner et peut-être notre peuple a-t-il lui aussi des ressources cachées qui pourraient un jour nous surprendre. mais l'indignation (ou la colère) qui décide soudain de s'exprimer de manière collective et se répand comme une traînée de poudre est très certainement un ingrédient nécessaire à la clarification pour tous des enjeux de notre époque.
******************************
Réponse 3 18 janv. à Joelle,
D'accord avec toi, Joëlle. Evidemment que l'indignation (et tous ses corollaires) est à la base de toute contestation politique ! J'ai pas lu l'opuscule de Hessel mais ça reste un gars qui a toute ma libertaire estime. J'aime bien ce provocateur trait d'union entre les résistances passées et celles d'aujourd'hui. Et puis ce n'est pas nous qui avons appuyé le trait, qui avons amorcé ces comparaisons entre les pages sombres de la capitalistique mondialisation et celles d'hier sous l'occupant nazi, c'est eux et notamment big fat Kessel, numéro deux du Medef à l'époque, et son coming out sur la mise à sac nécessaire du programme du CNR. Le problème d'aujourd'hui n'est pas la prise de conscience, trop de gens savent et voient le mur vers lequel on nous précipite tous. Le problème réside dans la croyance en notre capacité, nous les minorités agissantes, à faire partager aux autres la jouissance de toute action subversive et à trouver les outils adéquats pour saboter la machine.
Résister c'est créer (et vice-versa), les vétérans résistants n'ont pas hésité à reprendre la formule de Deleuze pour clôre leur texte sur le 60ème anniversaire du programme du CNR.
J'en profite pour vous signaler la sortie d'un admirable canard, article11. Le numéro 2 est en kiosque. En v'là un outil qui vaut son pesant de cacahètes.
Abrazos
Sébastien
...auxquelles marcel répond : (19 janvier)
merci à vous deux de faire suivre le message suivant :
bon je vois que l'unanimité est contre moi...
et je vois, qu'une fois de plus, j'ai un problème de communication !
donc, voici : pouce (“soupe brûlée”, comme enfants on criait joliment pour suspendre un jeu...),
je suis désolé d'avoir cassé votre beau jouet tout neuf !
d'autant plus que je trouve qu'Hessel à l'air d'un brave type (peut-être un peu dépassé par la situation...?)
bien, oublions le couplet sur l'indignation qui n'était que provocation
et ne retenons que les propositions, ok ?
je n'ai rien d'autre à revendiquer, la forme m'est indifférente
donc je viendrais ce soir (c'est demain soir jeudi pour le café-repaire du Conflent) pour les tenir à disposition si le groupe décide de les explorer,
d'en faire une critique fine pour voir si elles résistent à l'analyse,
ce que je demande comme un service pour faire avancer ma réflexion !!!
je vois à l'instant un nouveau mail hostile à mon texte !
qui fini toutefois sur “trouver les outils adéquats pour saboter la machine”
ce qui est le fond de mon texte (en plus créatif quand même) ...
je veux bien avoir un problème de communication, mais tout de même !!!!
**********************
d'ici là, tout de bon !
Marcel
et Marcel propose (20 janvier)
18 janv. (Thierry)
- Jeudi 20 à 18h30 : Café repaire de villefranche de Conflent à 18h30 au bar Le Canigou (covoiturage possible à partir de Thuir). Le repaire de Perpignan propose comme thème commun aux repères du coin : Notre pouvoir de citoyen (petit oubli lors du dernier courrier).Il faudrait aussi parler de l’usage et la forme de cette liste mail. Sans oublier le forum social.
-En annexe un texte de Marcel du Conflent. Un peu paradoxal de s’indigner de l’indignation, un peu véhément envers Stéphane Hessel.
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Réponse 2 (Joëlle)
18 janv.
Merci pour cette oeuvre de vigilance et d'information
Il faut juste que Marcel n'oublie pas que l'indignation (la tienne, celle de nombreux autres depuis longtemps et celles que le livre de Stéphane Hessel libère) est le fondement nécessaire de toute mobilisation créatrice et libératrice pour tous.
Voudrais-tu, sous prétexte d'urgence, qu'un peuple de moutons te suive sur les solutions que tu t'es construites ? Les Tunisiens nous rappellent que sous la chape de l'oppression les intelligences continuent de fonctionner et peut-être notre peuple a-t-il lui aussi des ressources cachées qui pourraient un jour nous surprendre. mais l'indignation (ou la colère) qui décide soudain de s'exprimer de manière collective et se répand comme une traînée de poudre est très certainement un ingrédient nécessaire à la clarification pour tous des enjeux de notre époque.
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Réponse 3 18 janv. à Joelle,
D'accord avec toi, Joëlle. Evidemment que l'indignation (et tous ses corollaires) est à la base de toute contestation politique ! J'ai pas lu l'opuscule de Hessel mais ça reste un gars qui a toute ma libertaire estime. J'aime bien ce provocateur trait d'union entre les résistances passées et celles d'aujourd'hui. Et puis ce n'est pas nous qui avons appuyé le trait, qui avons amorcé ces comparaisons entre les pages sombres de la capitalistique mondialisation et celles d'hier sous l'occupant nazi, c'est eux et notamment big fat Kessel, numéro deux du Medef à l'époque, et son coming out sur la mise à sac nécessaire du programme du CNR. Le problème d'aujourd'hui n'est pas la prise de conscience, trop de gens savent et voient le mur vers lequel on nous précipite tous. Le problème réside dans la croyance en notre capacité, nous les minorités agissantes, à faire partager aux autres la jouissance de toute action subversive et à trouver les outils adéquats pour saboter la machine.
Résister c'est créer (et vice-versa), les vétérans résistants n'ont pas hésité à reprendre la formule de Deleuze pour clôre leur texte sur le 60ème anniversaire du programme du CNR.
J'en profite pour vous signaler la sortie d'un admirable canard, article11. Le numéro 2 est en kiosque. En v'là un outil qui vaut son pesant de cacahètes.
Abrazos
Sébastien
...auxquelles marcel répond : (19 janvier)
merci à vous deux de faire suivre le message suivant :
bon je vois que l'unanimité est contre moi...
et je vois, qu'une fois de plus, j'ai un problème de communication !
donc, voici : pouce (“soupe brûlée”, comme enfants on criait joliment pour suspendre un jeu...),
je suis désolé d'avoir cassé votre beau jouet tout neuf !
d'autant plus que je trouve qu'Hessel à l'air d'un brave type (peut-être un peu dépassé par la situation...?)
bien, oublions le couplet sur l'indignation qui n'était que provocation
et ne retenons que les propositions, ok ?
je n'ai rien d'autre à revendiquer, la forme m'est indifférente
donc je viendrais ce soir (c'est demain soir jeudi pour le café-repaire du Conflent) pour les tenir à disposition si le groupe décide de les explorer,
d'en faire une critique fine pour voir si elles résistent à l'analyse,
ce que je demande comme un service pour faire avancer ma réflexion !!!
je vois à l'instant un nouveau mail hostile à mon texte !
qui fini toutefois sur “trouver les outils adéquats pour saboter la machine”
ce qui est le fond de mon texte (en plus créatif quand même) ...
je veux bien avoir un problème de communication, mais tout de même !!!!
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d'ici là, tout de bon !
Marcel
et Marcel propose (20 janvier)
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